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<TITLE>Das Kapital Band II - Fremdsprachige Zitate</TITLE>
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<META NAME="Date" CONTENT="1997-10-31">
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<P ALIGN="CENTER"><A HREF="me24_000.htm"><FONT SIZE=2>Inhalt</FONT></A>
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<P ALIGN="CENTER"><FONT SIZE="+2">Fremdsprachige Zitate</FONT></P><FONT SIZE=2><P>Die fremdsprachigen Zitate, die in den Fußnoten in deutscher Übersetzung gebracht wurden, werden hier nach der 2. Auflage wiedergegeben. Offensichtliche Druck- oder Schreibfehler wurden stillschweigend korrigiert. Wesentliche Abweichungen gegenüber dem Original sind vermerkt.</P>
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</FONT><P ALIGN="CENTER"><HR></P>
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<P>S. 24f, Note 3<BR>
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"Ainsi donc, par la concentration des fortunes entre un petit nombre de propriétaires, le marché intérieur se resserre toujours plus, et l'industrie est toujours plus réduite à chercher ses débouchés dans les marchés étrangers, où de plus grandes révolutions les attendent <bei Sismondi: le menacent>" (...). [Sismondi,] "Nouv. Princ." éd. 1819, I. p.336.</P>
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<P>S. 133, Note 11<BR>
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"Les frais de commerce, quoique nécessaires, doivent être regardés comme une dépense onéreuse." (Quesnay, "Analyse du Tableau Économique", in Daire, "Physiocrates", 1<SUP>e</SUP> partie, Paris 1846, p. 71.) -</P>
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<P>" ... à mettre leur rétribution ou leur gain au rabais ... n'est sérieusement parlant qu'une <I>privation de perte </I>pour le vendeur de la première main et pour l'acheteur-consommateur. Or, une privation de perte sur les frais du commerce n est pas un <I>produit réel</I> ou un accroît de richesses obtenu par le commerce, considéré en lui-même simplement comme échange, indépendemment des frais de transport, ou envisagé conjointement avec les frais de transport." (p. 145, 146.)</P>
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<P>"Les frais du commerce sont toujours payés aux dépens des vendeurs des productions qui jouiraient de tout le prix qu'en payent les acheteurs, s'il n'y avait point de frais intermédiaires." (p. 163.) Die propriétaires und producteurs sind "salariants", die Kaufleute sind "salariés". (p. 164, Quesnay, "Dialogues sur le Commerce et sur les Travaux des Artisans" <1. und 2. Auflage: "Problèmes économique">, in Daire, <20>Physiocrates<65>, 1<SUP>e</SUP> partie, Paris 1846.)</P>
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<P>S. 138, Note 13<BR>
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"The money circulating in a country is a certain portion of the capital of the country, absolutely withdrawn from productive purposes, in order to facilitate or increase the productiveness of the remainder; a certain amount of wealth is, therefore, as necessary in order to adopt gold as a circulating medium, as it is to make a machine, in order to facilitate any other production." ("Economist", vol. V, p. 520.)</P>
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<P>S. 152, Note 18<BR>
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"True, but how is the additional value given to it? By adding to the cost of production, first, the expenses of conveyance, secondly, the profit on the advances of capital made by the merchant. The commodity is only more valuable, for the same reason that every other commodity may become more valuable, because more labour is expended on its production and conveyance before it is purchased by the consumer. This must not be mentioned as one of the advantages of commerce." (Ricardo, "Principles of Pol. Econ.", 3<SUP>rd</SUP> ed. London 1821, p. 309, 310.)</P>
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<P>S. 190, Note 23<BR>
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... "Les avances annuelles consistent dans les dépenses qui se font annuellement pour le travail de la culture; ces avances doivent être distinguées des avances primitives, qui forment le fonds de l'établissement de la culture." ([Quesnay, "Analyse du Tableau Économique." In: "Physiocrates", éd. Daire, 1<SUP>e</SUP> partie, Paris 1846,] p. 59.)</P>
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<P>"Au moyen de la durée plus ou moins grande des ouvrages de main-d'<27>uvre, une nation possède un fonds considérable de richesses, indépendant de sa reproduction annuelle, qui forme un capital accumulé de longue main, et originairement payé avec des productions, qui s'entretient et s'augmente toujours." ([Le Trosne, "De l'intérêt social." In: "Physiocrates", éd.] Daire, II, p. 928, 929.)</P>
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<P>S. 216, Note 24<BR>
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... "Not only his" (the farmer's) "labouring servants but his labouring cattle are productive labourers." ([Adam Smith, "Wealth of Nations".] Book II, chap. V, p. 243.)</P>
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<P>S. 343, Note 33<BR>
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... "Jetez les yeux sur le Tableau Économique, vous verrez que la classe productive donne l'argent avec lequel les autres classes viennent lui acheter des productions, et qu'elles lui rentrent cet argent en revenant l'année suivante faire chez elle les mêmes achats... Vous ne voyez donc ici d'autre cercle que celui de la dépense suivie de la reproduction, et de la reproduction suivie de la dépense; cercle qui est parcouru par la circulation de l'argent qui mesure la dépense et la reproduction." (Quesnay, "Dialogues sur le Commerce et suries Travaux des Artisans" <1. und 2. Auflage: "Problèmes économique">, in Daire, "Physiocr." I, p. 208, 209.)</P>
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<P>"C'est cette avance et cette rentrée continuelle des capitaux qu'on doit appeler la circulation de l'argent, cette circulation utile et féconde qui anime tous les travaux de la société, qui entretient le mouvement et la vie dans le corps politique et qu'on a grande raison de comparer à la circulation du sang dans le corps animal." (Turgot, "Réflexions etc.", <20>uvres éd. Daire, I, p. 45.)</P>
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<P>S. 360, Note 37<BR>
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... "Comme eux" (les entrepreneurs-manufacturiers), "ils" (les fermiers, d.h. die kapitalistischen Pächter) "doivent recueillir, outre la rentrée des capitaux etc." (Turgot, <20>uvres, éd. Daire. Paris 1844. Tome I, p. 40.)</P></BODY>
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